
Des fables














Director: Tony Kaye
Writer: David McKenna
Stars: Edward Norton, Edward Furlong, Beverly D’Angelo
Derek Vineyard is paroled after serving 3 years in prison for brutally killing two black men who tried to break into/steal his truck. Through his brother’s, Danny Vineyard, narration, we learn that before going to prison, Derek was a skinhead and the leader of a violent white supremacist gang that committed acts of racial crime throughout L.A. and his actions greatly influenced Danny. Reformed and fresh out of prison, Derek severs contact with the gang and becomes determined to keep Danny from going down the same violent path as he did.
Link IMDB: https://www.imdb.com/title/tt0120586/











































































Ce roman aborde un sujet qui peut être tabou pour certaines personnes.
Werber réussit néanmoins le tour de force de, justement, rendre le sujet plus accessible.
L’histoire est bien pensée et il y a pas mal de références (à diverses religions, diverses personnalités, divers événements…).
La fin est jouissive…
Mais, je vais tenter d’expliquer ma faible note.
La mort est un vaste sujet, mais au bout de quelques chapitres, on a déjà fait le tour au niveau de l’histoire principale. Cela tourne, en effet, beaucoup en rond et les seuls faits nouveaux au fil des chapitres sont que les Thanatonautes découvrent toujours un autre « Moch »… pour arriver à la fin a quelque chose de connu dans la culture populaire.
Pour résumer, je trouve l’histoire vraiment originale, mais c’est beaucoup trop long, cela en devient même pénible.

Commençons d’abord par les points positifs.
Les images sont d’une beauté à couper le souffle.
La bande son est très jouissive.
Et, enfin, il y a sir Anthony Hopkins qui joue dedans, tout de même (oui, je sais, je ne suis pas objectif quand il s’agit de lui).
Seulement voilà.
Certains acteurs ne sont clairement pas à la hauteur… Le parfait exemple est lorsque Lee Sizemore est au bord de la piscine et qu’il est « alcoolisé ». Pour le coup, SIMON QUARTERMAN joue extrêmement mal l’homme alcoolisé.
De surcroît, les expressions des personnages paraissent trop souvent surjouées.
Et, pour terminer, il y a beaucoup trop d’incohérences : Par exemple, comment se fait-il que les non-humains arrivent-ils à utiliser aisément les pseudo-tablettes dernier cri ? Ou encore les armes modernes ?
Ou alors, dans le dernier épisode, lorsque l’alerte est donnée, Maeve et Lutz s’enfuient tranquillement dans l’espèce d’ascenseur. Le voyage paraît interminable d’une part. D’autre part, arrivés à destination, plus aucune alerte. De surcroît, personne ne semble reconnaître Maeve, quand bien même sa tête est affichée en grand sur l’écran à l’entrée du bâtiment « Westworld ».
Voilà, en résumé, je suis quelque peu déçu par cette série, j’en attendais davantage au vu du buzz qu’elle a suscité.
La saison 2 est toujours aussi belle visuellement parlant, si ce n’est plus.
En revanche, comme pour la première saison l’histoire est beaucoup trop tirée par les cheveux et les incohérences se comptent par dizaines à chacun des épisodes. En fait, on a vraiment l’impression qu’on veut à tout prix surprendre le spectateur, peu importe que cela soit logique et cohérent ou non.
Par ailleurs, que vient faire l’époque d’Edo dans la série ?
Et puis l’autre qui parvient à contrôler ses pairs par la pensée (mais oui, mais oui…) et la Dolores qui se prend plus de balles que 50 Cent et qui reste toujours debout.
On voit clairement qu’il s’agit d’une série avec beaucoup de moyens (les images sublimes, les acteurs plutôt bons (sans parler du maître du genre : Sir Anthony Hopkins), des effets spéciaux plutôt réussis… et j’en passe), avec une histoire très originale (à supposer qu’on n’ait pas vu le film de 1973, « Mondwest » ) mais terriblement mal exploitée.
C’est simple, on voit clairement que les réalisateurs se sont mis en tête d’en mettre plein la vue aux téléspectateurs, de le surprendre… tant pis si l’histoire devient totalement improbable. Bref, on a tous les ingrédients pour faire un bon cocktail, mais avec un barman en carton, l’élixir devient à peine buvable.
PS : Je me suis arrêté à la saison 2... je n'ai pas eu la force d'entammer la saison 3.

aujourd’hui, j’ai
lutté
contre la
volonté de pleurer.
j’avais
bien trop peur
de passer
pour une fiotte.
j’étais en visite à
Auschwitz.
et bien,
je peux vous dire que
c’est vraiment
quelque chose.
je veux dire ce
n’est guère un secret
pour personne que les allemands
sont des
dégénérés.
mais là, voir
l’endroit où a eu lieu
tous ces massacres,
cela fait
un vrai drôle d’effet.
le docteur Mengele…
putain, mais il
a dû subir de
sales saloperies
dans son enfance
pour être aussi déréglé.
attendez, le type
expérimentait tout
de même
toute sorte d’expériences
sur des êtres humains.
encore un connard qui
a dû échouer
le concours de médecine ou
ses études primaires.
des dégénérés de la sorte,
plus jamais,
tu m’entends.
plus jamais.

L’aéroport avale ses milliers de voyageurs,
Pour assouvir son énorme appétit vorace,
Sa bouche dévore des mets de toute race,
Ce délicieux festin le remplit de bonheur.
Ils vont à Sydney, ils vont à Moscou, ils vont à Paris,
En s’élevant à des milliers de mètres du sol,
Peuvent même traverser les deux pôles,
La destination ne dépend que de leurs envies.
Installé sur son siège, on s’endort à Tokyo,
Durant quelques heures de sommeil profond
Et de rêves remplis de chevaliers et dragons,
On ouvre les yeux dans un aéroport à Rio.
On peut aussi voyager sans bouger de place
En tirant les ficelles de son imagination
Pour concocter une délicieuse potion
À consommer les jours où la vie est une garce.
Mais rien ne remplace la perception par la rétine
D’un coucher de soleil au bord du vide
Ou au bord d’une eau claire et limpide
Même une imagination débordante et fine.
Alors sortez, voyagez et découvrez,
Avant qu’il ne soit beaucoup trop tard
Pour respirer l’air frais montagnard,
Restez immobile et vous mourrez.