
Les rues sont dénuées d’âmes, mais pourtant elles sont pleines de gens. Tout le monde marche tête baissée, d’aucuns lèvent la tête pour contempler l’imposante bâtisse qui a un incroyable vécu derrière elle.

L’hôtel d’en face abrite de nombreux touristes qui sont venus ici pour oublier leur quotidien. Voyager est le meilleur remède à la monotonie de la vie. Les rayons de soleil font oublier les clôtures, les échéances et les prélèvements d’impôts.




Du bout des doigts, on pourrait presque toucher les nuages. Prendre de la hauteur, avancer, le chemin des Hommes est fait d’une linéarité extraordinaire…

Vient ensuite le temps de la reflexion sur la théorie des cordes. D’univers parallèle en univers parallèle, on a tendance à se focaliser sur la réalité qu’on souhaiterait avoir, mais on ne se dit jamais qu’il se peut que cette réalité existe dans un univers parallèle. Et cela devrait suffire à nous rendre heureux.



Et pour les plus fortunés, il est toujours possible de monter à bord de son voilier et prendre le large. Écouter le bruit des vagues venant se fracasser sur la coque, se sentir vivant.



Une âme en peine retrouve toujours son chemin dans une église. Arrête-toi devant, admire sa splendeur et pénètres-y. Un cocon de sérénité en plein milieu de la ville. Calme. Prie.




Pour finir, prêtes attention à ces petits détails, tu n’y trouveras nullement le diable, mais la paix intérieure. Le monde est beau. La vie est belle.