

Dans les contrées des Carpates se réveille d’un sommeil éternel ce cher Vlad.
À quoi bon l’éternité si on ne peut admirer un couché de soleil ou regarder les nuages ?
À quoi bon être éternel si tous ceux qui nous entourent disparaissent un par un ?
“Viens on s’embrasse sous les linceuls,
j’viens avec toi mon assassin
Parce que tu sais l’éternité c’est long tout seul,
surtout vers la fin…”