Les statues, immobiles et solides, Défiant le temps, dans leur silence, Immuables, figées dans leurs postures, Éveillent en moi une mélancolie. Elles sont des souvenirs en pierre, De l'humanité, de son histoire, Des héros, des dieux, des rois, Qui ont marqué l'existence. Leurs yeux fixes, vides, qui me regardent, Semblent me parler de la vie éternelle, De l'épopée des temps anciens, De la beauté qui ne meurt pas. Les statues, tel des témoins silencieux, Résistent à l'épreuve des siècles, Et m'offrent un aperçu de l'éternité, De la gloire et de la grandeur. Elles sont les gardiennes de notre mémoire, Les témoins de notre passé, Les gardes d'honneur de notre humanité, Qui ne s'effaceront jamais.
architecture
Paris



Paris, un autre temps, une autre époque. Paris, lorsque la grande Dame, la nôtre, fut si belle.
Paris, lorsque les couleurs me prirent d’émotions. Ce fut un bref passage dans ton histoire, ce fut une éternité dans ma vie.
Paris, toi à qui j’ai laissé la majeure partie de ma jeunesse.
Paris, la sauvage. Paris, la douce. Paris, la terrible. Paris, la géniale.
Paris, tu étais si belle jadis. Tu l’es sans nul doute encore.
Paris, tu n’as pas changé, mais moi.
Belle ville.
