
La porte du temps. Ne jamais regarder en arrière… au risque d’en devenir nostalgique. La nostalgie est incompatible avec le futur… ou l’est-elle ?
La porte du temps. Ne jamais regarder en arrière… au risque d’en devenir nostalgique. La nostalgie est incompatible avec le futur… ou l’est-elle ?
Dans les contrées des Carpates se réveille d’un sommeil éternel ce cher Vlad.
À quoi bon l’éternité si on ne peut admirer un couché de soleil ou regarder les nuages ?
À quoi bon être éternel si tous ceux qui nous entourent disparaissent un par un ?
“Viens on s’embrasse sous les linceuls,
j’viens avec toi mon assassin
Parce que tu sais l’éternité c’est long tout seul,
surtout vers la fin…”
Paris, un autre temps, une autre époque. Paris, lorsque la grande Dame, la nôtre, fut si belle.
Paris, lorsque les couleurs me prirent d’émotions. Ce fut un bref passage dans ton histoire, ce fut une éternité dans ma vie.
Paris, toi à qui j’ai laissé la majeure partie de ma jeunesse.
Paris, la sauvage. Paris, la douce. Paris, la terrible. Paris, la géniale.
Paris, tu étais si belle jadis. Tu l’es sans nul doute encore.
Paris, tu n’as pas changé, mais moi.
Smile. Life is how it is, but keep smiling. Because in the end, you will be remembered as a sad clown.
The universe itself would freeze here.
No chromatic aberration, only joy and love.
Be safe.
The calmness of the nightmares.
Do not turn around.
Just walk.