



















Malta, the island of the sun, Where crystal waters gently run. Its shores are lined with fishing boats, That bob and sway with the ocean's moats. The boats, they come in every size, With sails of red, blue, and white. Each one a story, each one a prize, Of journeys taken, of winds so bright. The fishermen, they know the sea, They've sailed its waters, wild and free. With nets cast deep, they bring forth treasure, Of fish and tales, beyond all measure. In harbors old, the boats are moored, Their timbers weathered, rough, and scored. A reminder of the sea's own power, Of tempests raged, in hours long hours. But when the day breaks, clear and calm, The boats set sail, without alarm. With sun on their faces, and wind in their hair, They journey forth, without a care. So here's to Malta, and its boats, That brave the sea, and all it floats. May their journey's always be smooth, And their catch be plenty, and always bountiful.




Les statues, immobiles et solides, Défiant le temps, dans leur silence, Immuables, figées dans leurs postures, Éveillent en moi une mélancolie. Elles sont des souvenirs en pierre, De l'humanité, de son histoire, Des héros, des dieux, des rois, Qui ont marqué l'existence. Leurs yeux fixes, vides, qui me regardent, Semblent me parler de la vie éternelle, De l'épopée des temps anciens, De la beauté qui ne meurt pas. Les statues, tel des témoins silencieux, Résistent à l'épreuve des siècles, Et m'offrent un aperçu de l'éternité, De la gloire et de la grandeur. Elles sont les gardiennes de notre mémoire, Les témoins de notre passé, Les gardes d'honneur de notre humanité, Qui ne s'effaceront jamais.




Budapest, ville de lumières et de bière Où les rues sont bondées de monde à tout moment Où les bars débordent de vie jusqu'au petit matin Et où les gens vivent leur vie sans se soucier de demain Je marche dans les rues étroites, émerveillé par chaque édifice Les clochers des églises se dressent fièrement vers le ciel Et les eaux paisibles de la Danube brillent sous la lune C'est ici que je me sens vivant, c'est ici que je respire Je me souviens des soirées interminables à boire du vin rouge Et des jours passés à écouter les musiciens jouer leurs morceaux Je me souviens des défis que j'ai relevés, des coeurs que j'ai brisés Et de la liberté que j'ai trouvée dans cette ville merveilleuse Budapest, ville de mes rêves et de mes démons Où je me suis battu pour survivre et où je suis devenu moi-même C'est ici que je suis né, c'est ici que je mourrai Car jamais je ne pourrai oublier ces rues, ces gens et cette vie.
In the city of Krakow, a beauty so divine, The streets are lined with ancient monuments and shrines, A place where history whispers in the breeze, Where culture thrives in every nook and crease. The Wawel Castle stands tall in the sky, Its walls tell tales of knights, kings and spies, The Main Square, a bustling hub of life, A gathering place for joy, love, and strife. The market stalls are filled with colors bright, A symphony of sights and smells and delight, The Cloth Hall, a beacon of trade and wealth, A symbol of the city's economic health. In the Kazimierz district, stories untold, A place where Jewish history and culture unfold, The synagogues, once places of worship and peace, Now stand as monuments of tragedy and grief. Oh Krakow, a city of grace and charm, Your beauty shines like a bright and blazing star, A place where the past and present intertwine, In a symphony of art, history, and time.


Les nuages sont bleus
Le ciel est blanc
Moi, ce qui m’émeut ?
Le bon vieux temps
Où les couleurs
Me surprenaient
Un gosse râleur
Fus-je né
…

Je ne me lasserai jamais de contempler la beauté de cette ville aux cent clochers.

Elle est encore plus impressionnante lorsque ce voile blanc embrasse cette ville.


